jeudi 31 janvier 2013

Maurice Barrès (1862-1923)




  • Les Traits éternels de la France / Maurice Barrès, de l'Académie française.- Paris (100, rue du Faubourg-Saint-Honoré et Place Beauvau) : Émile-Paul frères éditeurs, 1916.- 55 p. ; 19 cm.

    • Il a été tiré de cet ouvrage cent vingt-cinq exemplaires sur papier de Hollande tous numérotés. [Exemplaire] n° 48.

lundi 28 janvier 2013

Charles Le Goffic (1863-1932)




  • De quelques ombres / Charles Le Goffic.- Paris (Place Dauphine) : Marcelle Lesage éditeur, 1929.- 185 p. ; 17,5 cm.

    • L'édition originale de Quelques ombres achevée d'imprimer le 12 mai 1929, par l'imprimerie L'Hoir, à Paris, a été tirée à 2050 exemplaires : à savoir : 50 exemplaires sur papier de Rives et 2000 exemplaires sur vélin satiné. Exemplaire n°97.

vendredi 25 janvier 2013

Léon Bloy (1846-1917)


  • Belluaires et Porchers : 1884-1894 : choix / Léon Bloy.- Paris : Jean-Jacques Pauvert, 1965.- 197 p. ; 18 cm.- (Libertés ; 21).

NOTE SUR LA PRÉSENTE ÉDITION

Paru en 1905, Belluaires et Porchers est un recueil d'articles publiés entre 1884 et 1894 dans différents journaux et revues : Le Mercure de France, La Plume, L'Événement et surtout le Gil Blas. Deux des articles sur les Goncourt avaient été publiés dans le Chat Noir, le 17 mai et le 18 octobre 1884. Bloy avait rompu avec le Chat Noir à la fin de 1884, après avoir réuni les articles qu'il irait donnés à cette revue, sous le titre Propos d'un entrepreneur de démolition, parus en mai. Dans une note de Belluaires et Porchers, il exprime le regret d'avoir dédié les Propos à Rodolphe Salis, le directeur du Chat Noir.

Belluaires et Porchers est, pour l'essentiel, un livre de critique et surtout de polémique littéraires.Nous avons omis, dans la présente édition, divers textes qui ne portent pas sur la littérature : La Babel de Fer (il s'agit de la Tour Eiffel) deux réflexions sur des faits divers : Les Cabotins sanglants et Parabole des Mauvais semeurs, des articles sur la duchesse de Galliéra, le latin d’Église, une matinée théâtrale posthume en l'honneur de Charles Cros. Des articles littéraires, nous avons écarté comme peu accessibles ou d'un objet peu intéressant ceux sur Joséphin Péladan, Maurice Bouchor, et Ernest Hello, pour lequel Bloy nouris­sait une grande admiration (1). Deux articles non littéraires : Massacre des Innocents et l'Épilogue ont été cependant conservés comme particulièrement représentatifs du catholicisme de Bloy. Au total, sur trente textes, nous en avons retenu dix-huit. Précisons qu'il ne s'agit pas là de coupures à proprement parler, mais d'un choix parmi des articles de presse dont la réunion en volume fut très postérieure à la première publication.

L'éditeur.

(1) Le troisième volet de Brelan d'excommuniés, dont nous ne donnons ci-après que les volets Barbey et Verlaine, lui est consacré.

mardi 22 janvier 2013

Raymond Poincaré (1860-1934)




  • Ernest Renan / Raymond Poincaré.- Paris (5, quai Malaquais) : Librairie ancienne Honoré Champion-Édouard Champion, 1923.- 47 p. ; 17 cm.

    • Il a été fait un premier tirage hors commerce à 7 exemplaires sur papier Japon et 193 exemplaires sur papier vergé d'Arches, pour les Amis d’Édouard. Du tirage de vente, il a été tiré 20 ex. sur Japon.

samedi 19 janvier 2013

Friedrich-Karl Forberg (1770-1848)

  • Attitudes et postures de l'amour.- A Paris : Au Cercle du livre précieux, MCMLIX [1959].- XLI p. : ill. ; 21,5 cm.- (L’Écrin secret du bibliophile ; 10).
    • Ce livre, le dixième de la collection "l'écrin secret du bibliophile", publié sous la direction de Jacques Haumont, a été composé en Garamond romain corps 8 et tiré à mille cinq cents exemplaires, numérotés de 1 à 1500, sur vélin pur chiffon des papeteries Johannot, par Jean Crès et fils, imprimeurs, à Paris. Il a été tiré en sus quelques exemplaires de collaborateurs marqués H.C. Exemplaire H.C. Sous étui réunissant les numéros 6 à 10 de la collection.


AVANT-PROPOS.

 Il existe une infinie variété dans les manières de se livrer aux jeux de l'amour. La fantaisie, l'imagination et même la dépravation des hommes ont tracé autour de l'acte amou­reux des broderies ingénieuses et souvent étranges. Aussi n'est-il pas étonnant que quelques esprits méthodiques aient eu le souci d'inventorier, puis de classer ces mille inventions du plaisir.

Se référant aux classiques de l'Antiquité, un savant professeur de l'Université d'Iéna, conservateur de la biblio­thèque de Cobourg, fit paraître en 1824 un ouvrage fort érudit écrit en latin et consacré à l'étude des fantaisies amoureuses des Anciens. De ce livre, connu aujourd’hui sous le titre de Manuel d'Érotologie classique, nous avons extrait le cadre de notre petit recueil : l'érudition et la méthode du savant Friedrich-Kart Forberg assurait une base certaine et complète à nos recherches.

A d'autres époques, en d'autres régions du monde, des esprits curieux s'étaient préoccupés des mêmes pro­blèmes. Nous avons pie constater que deux ouvrages du IX XVIe siècle, le Jardin Parfumé du Cheikh Nefzaoui, poète, jurisconsulte et médecin des environs de Tunis, et les Dialogues de Magdelon et de Julie, plus connus sous le nom de Postures de l'Arétin, avaient très exactement répertorié les inventions amoureuses de l'Orient et de l'Occi­dent et que tous les ouvrages postérieurs sur le même sujet n'étaient que des copies plus ou moins exactes de l'un ou de l'autre. Le présent ouvrage, refonte de ces trois livres essentiels, est donc le premier inventaire méthodiquement établi des principales attitudes et postures de l'amour.

Nous avons suivi l'ordre du classement de Forberg, adopté sa numérotation, et donné la correspondance, quand elle existe, avec les ouvrages de l'Arétin et du cheikh Nef­zaoui. A la suite, figurent les principales « inventions » inconnues des Anciens mentionnées par les Dialogues de Magdelon et de Julie et par le Jardin Parfumé.

Les illustrations ont été gravées d'après les admirables compositions du XVIe siècle italien, représentant les Amours des Dieux. Quel plus agréable accompagnement pouvait-on souhaiter à ce petit manuel d'érudition amoureuse que ces petits burins à la libre et harmonieuse fantaisie ?

mercredi 16 janvier 2013

Henri Monnier (1799-1877)



  • L'Enfer de Joseph Prudhomme / par Henry Monnier ; précédé de l'Histoire du Théâtre érotique de la rue de La Santé.- A Paris : Au Cercle du livre précieux, MCMLIX [1959].- 46 p. : ill. ; 21,5 cm.- (L’Écrin secret du bibliophile ; 9).
    • Ce livre, le neuvième de la collection "l'écrin secret du bibliophile", publié sous la direction de Jacques Haumont, a été composé en Bodoni romain corps 8 et tiré à mille cinq cents exemplaires, numérotés de 1 à 1500, sur vélin pur chiffon des papeteries Johannot, par Jean Crès et fils, imprimeurs, à Paris. Il a été tiré en sus quelques exemplaires de collaborateurs marqués H.C. Exemplaire H.C. Sous étui réunissant les numéros 6 à 10 de la collection.


NOTICE.

Ce fut un grand élan de fantaisie et de gaieté qui soudain, en 1862, décida quelques poètes non confor­mistes à créer, dans la rue de la Santé, un théâtre libre qui servirait de prétexte à réunir chaque quinzaine une vingtaine de gens d'esprit, artistes ou hommes de lettres que n'avaient pu discipliner un bourgeoisisme envahissant ni de tyranniques soirées officielles où se mêlaient peintres et boursiers, poètes et journalistes imbus de leur importance.

Monsieur Lemercier de Neuville, animateur de ce théâtre « bizarre, irrégulier, sauvage et excessif », en fut aussi l'architecte, le maçon, le peintre et le machiniste. Et rien n'est plus savoureux à lire que la description qu'Albert Glatigny, dans son Histoire du Théâtre Érotique de la rue de la Santé, donne de cette maison où la fantaisie et le burlesque, jusque dans les plus infimes détails, régnaient en maîtres.

La Grisette et l’Étudiant, d'Henry Monnier, aussi cé­lèbre comme dessinateur que comme écrivain, y connut le plus franc succès. On y voit contée une scène d'amour d'un extrême réalisme, et ce récit se trouve relevé d'ins­tants en instants par les réflexions d'un petit bourgeois qui parle à la cantonade, personnage à la fois ridicu­lement conventionnel et naïvement accessible aux émo­tions physiques.

Quant aux Deux Gougnottes, elles ne furent pas jouées sur ce théâtre, mais l'on y reconnaît le même talent de froide narration et d'érotisme savamment dosé qui caractérise bien la manière d'Henry Monnier, cet observateur auquel rien n'échappe, même dans les situations les plus osées, et qui cependant transcrit tous ces détails avec un flegme imperturbable, ce qui faisait dire à Théophile Gautier que son œuvre théâtrale n'était « plus de la comédie, mais de la sténographie » et incitait Baudelaire à comparer sa froideur et sa lim­pidité à celles d'un miroir, « un miroir qui ne pense pas et qui se contente de réfléchir les passants ».

dimanche 13 janvier 2013

Priapées



  • Badinages priapiques de quelques poëtes anciens.- A Paris : Au Cercle du livre précieux, MCMLIX [1959].- LI p. : ill. ; 21,5 cm.- (L’Écrin secret du bibliophile ; 8).
    •  Ce livre, le huitième de la collection "l'écrin secret du bibliophile", publié sous la direction de Jacques Haumont, a été composé en Antique romaine corps 10 et tiré à mille cinq cents exemplaires, numérotés de 1 à 1500, sur velin pur chiffon des papeteries Johannot, par Jean Crès et fils, imprimeurs, à Paris. Il a été tiré en sus quelques exemplaires de collaborateurs marqués H.C. Exemplaire H.C. Sous étui réunissant les numéros 6 à 10 de la collection.

NOTICE. 

Priape, fils de Bacchus et de Vénus, naquit, dit-on, à Lampsaque. Junon, jalouse de la beauté de Vénus, fit en sorte que celle-ci accouchât d'un enfant dont le bas du corps était atrophié mais qui portait un membre d'une grosseur démesurée. Devenu grand, il excita la jalousie des maris qui le firent exiler à la campagne. Mais les Dieux imposèrent son retour dans sa ville natale, où il fut accueilli avec enthousiasme et prit dès lors un caractère divin. De Lampsaque, son culte se répandit en Lydie, puis dans toute la Grèce.

Priape est à la fois le dieu paillard de la virilité et une divinité rustique, dieu qui veille sur les jardins et châtie les voleurs à sa manière inexorablement lubrique, restant ainsi, jusque dans ses attributions vigilantes et protectrices, le symbole de la virilité : initialement, les paysans le repré­sentaient par un simple bâton en forme de phallus.

En dépit de ses origines grecques, il n'apparaît pas dans la littérature grecque, ou très exceptionnellement seulement chez Théocrite ou ses disciples. Ce seront les poètes latins qui le mettront à l'honneur :

« O toi dont le pénis terrifie tous ceux qui sont entiers et dont la faux menace ce qui est resté aux eunuques, veille sur mon jardin isolé ».

Les Priapées furent à l'origine de courts distiques ou épigrammes que l'on traçait sur les statues de Priape ou sur les murs de ses temples. C'était soit une prière adressée au dieu, soit une menace, soit encore un ordre ou une parole attribués à Priape lui-même.

Les poèmes que nous avons réunis dans ce volume, sont, dans une traduction nouvelle et plus exacte que les précédentes, les meilleurs de ceux que donne l'édition ne varietur des Priapées (Priapeia sive diversorum poetarum in Priapum lusus, 1669).

Ils sont naturellement prétexte à obscénités de tous genres et pourraient donner à penser que les jardins de Rome, à cette époque post-virgi lien ne, constituaient au su de tous des lieux de débauche. Et si la personnalité des auteurs des Priapées est à peu près impossible à établir et laisse libre champ aux opinions les plus diverses, les poèmes qu'elles contiennent offrent néanmoins l'inté­rêt essentiel de nous donner une idée fort précise des pratiques sexuelles des Latins de la Décadence.

jeudi 10 janvier 2013

Stendhal (1783-1842)


  • Lettres érotiques / de Stendhal et de Prosper Mérimée.- A Paris : Au Cercle du livre précieux, MCMLIX [1959].- 52 p. ; 21,5 cm.- (L’Écrin secret du bibliophile ; 7).

    • Ce livre, le septième de la collection "l'écrin secret du bibliophile", publié sous la direction de Jacques Haumont, a été composé en Bodoni romain corps 8 et tiré à mille cinq cents exemplaires, numérotés de 1 à 1500, sur vélin pur chiffon des papeteries Johannot, par Jean Crès et fils, imprimeurs, à Paris. Il a été tiré en sus quelques exemplaires de collaborateurs marqués H.C. Exemplaire .... Sous étui réunissant les numéros 6 à 10 de la collection.

NOTICE.

Ce petit volume est formé, pour une part, de lettres éparses dans les recueils de Correspondances de Stendhal et de Mérimée, mais surtout de lettres qui, ayant paru seulement en revue, sont d'une insigne rareté.

Nous ne saurions mieux le présenter qu'en citant quelques lignes d'Henri Martineau, le plus grand et le plus sensible connaisseur de Stendhal, publiées dans la revue Fontaine (décembre 1945) :

« Feuillets précieux, sans nul doute, mais d'un ton assez vif pour scandaliser à l'extrême les âmes prudes du dernier siècle, si, par hasard, on avait tenté de les leur faire connaître. Aujourd'hui, il est vrai, on devrait user de toutes autres expres­sions si l'on entendait effaroucher les lecteurs des plus fameux romans contemporains. Nous n'avons donc pas à plaider afin de faire admettre les termes parfois épicés, dont l'auteur de Colomba, écrivant sous le couvert d'un pli cacheté, se ser­vait sans gêne quand il s'épanchait devant un petit nombre de ses amis hommes. dont Stendhal.

« Reste que cette correspondance est bien révé­latrice de la nature intime de ces deux amis. On n'apprendra rien à personne en disant qu'ils étaient au fond doués tous les deux d'un sentimentalisme absolument désuet et qu'ils en étaient imbus à ce point ridicule de pudibonderie qu'ils préféraient affecter la plus grossière attitude plutôt que de se laisser l'un à l'autre deviner. Toujours, ils se sont joué la comédie. Ainsi affichaient-ils en publie le cynisme le plus effronté, tout particulièrement quand ils parlaient des femmes et des choses de l'amour.

« Mérimée, au surplus, était tellement possédé de la fureur de conter que plus d'une fois, on le devine, l'instant présent n'avait de charme à ses yeux que parce que l'homme de lettres, qui en lui ne s'endormait jamais, songeait en vivant une aventure aux belles narrations qu'il en ferait sous peu à ses amis et à ses amies. Trois fois, quatre fois, la même histoire, il lui arriva de la narrer à des lecteurs différents. Il affectionnait d'en tirer, par surcroît, cette philosophie désenchantée, sèche, amère, burlesque, souvent triviale et volontiers obscène qui résumait sous sa plume l'image qu'il se faisait du inonde et des hommes. »

« Dans cette correspondance si couramment inci­sive, Mérimée ne s'épargne jamais lui-même. Irré­vérencieux envers tous ceux qui lui fournissent une anecdote bien scandaleuse ou dont il rapporte quelque trait de malice noire, il livre, en outre, à ses futurs biographes quantité de renseigne­ments sur sa propre existence, de petits faits vécus et de réflexions primesautières, de quoi en somme enrichir sur plus d'un point la connaissance que nous avions déjà de l'homme et de l'écrivain.

« Encore y faut-il prendre garde, tant la viva­cité du récit et la verdeur du langage emportent aisément le lecteur dans un mouvement irrésistible et d'un extrême amusement. »

lundi 7 janvier 2013

Pierre l'Arétin (1492-1556)



  • La Putain errante ou Dialogue de Magdeleine et de Julie / attribué à l'Arétin.- A Paris : Au Cercle du livre précieux, MCMLIX [1959].- 42 p. : ill. ; 21,5 cm.- (L’Écrin secret du bibliophile ; 6).
    • Ce livre, le sixième de la collection "l'écrin secret du bibliophile", publié sous la direction de Jacques Haumont, a été composé en Garamond romain corps 8 et tiré à mille cinq cents exemplaires, numérotés de 1 à 1500, sur velin pur chiffon des papeteries Johannot, par Jean Crès et fils, imprimeurs, à Paris. Il a été tiré en sus quelques exemplaires de collaborateurs marqués H.C. Exemplaire H.C. Sous étui réunissant les numéros 6 à 10 de la collection.

NOTE BIBLIOGRAPHIQUE.

La Puttana Errante, dialogo di Maddalena e Giulia parut pour la première fois, sans doute à Venise, en 1531. Bien que certains critiques lui en aient contesté la paternité, l'Arétin fut généralement considéré comme l'auteur de ce petit dialogue : c'est d'ailleurs, pour accom­pagner ses Ragionamenti que les Elzévier publièrent en 1660 la première édition connue de la Puttana Errante.

Pendant tout le 18e siècle, la Putain Errante fut le livre de fonds de toute bibliothèque érotique : sous le nom de Postures de l'Arétin, Casanova la mentionne à plu­sieurs reprises. Elle était illustrée de gravures attribuées fallacieusement aux peintres tes plus célèbres dont s'honore l'Italie, à Annibal Carrache, à son frère Augustin Car­rache, au Corrège, à Raphaël, au Titien. En raison de leur médiocrité et de leur caractère visiblement apocryphe, nous nous sommes abstenu de les reproduire, et nous les avons remplacées par de charmantes compositions dues au talent de Michel Siméon.

La traduction que nous réimprimons ici est la plus ancienne qui ait été faite en France ; elle parut sous le titre de la Putain Errante ou Dialogue de Magdelon et de Julie, par P. Arétin, fidèlement traduite en français par N*** (Lampsaque, 1760, in-8°).

La Putain Errante était devenue absolument introuvable : la présente réimpression apporte ainsi une contribution essentielle à la connaissance des mœurs libertines du seizième siècle italien.

vendredi 4 janvier 2013

Louis Latzarus (1878-1942)


  • La Politique / Louis Latzarus.- Paris : Librairie Hachette, 1928.- 57 p. : couv. ill. ; 17,5 cm.- (Notes et maximes).
    • Il a été tiré de cet ouvrage : 15 exemplaires sur papier du Japon, numérotés de 1 à 15 ; 5 exemplaires sur papier de Chine, numérotés de 1 à 5 ; 70 exemplaires sur papier de Hollande, numérotés de 1 à 70 ; 140 exemplaires sur papier de Madagascar, numérotés de 1 à 140. L'édition originale a été tirée sur papier Alfa. Exemplaire sur papier de Madagascar n°81.

mardi 1 janvier 2013

Albert Simonin (1905-1980)

 

  • Le Petit Simonin illustré : dictionnaire d'usage / [Albert Simonin ; lettre-préface de Jean Cocteau], illustrations de P. Grimault.- Paris (9, rue Lincoln) : Les Productions de Paris, 1959.- 295 p. : ill. ; 18cm.