mardi 31 mars 2009

Le nouveau Décaméron - 5


  • Le Nouveau Décaméron. Cinquième journée : La Rue et la Route.- Paris (Palais-Royal-15,17 & 19, galerie d'Orléans) : E. Dentu, 1885.- 208 p.-2 f. de pl. ; 20 cm.
    • La mort d'un paysan / Emile Zola ; Mademoiselle Fleur-de-Lys / Arsène Houssaye ; La Martine / Guy de Maupassant ; Bichon / Robert Bonnières ; Un philosophe / Paul Arène ; Les servantes / Théodore de Banville ; Le roman d'un Bouquet / Camille Lemonnier ; Kadja / Jules Claretie ; Don Juan au Paradis / Catulle Mendès ; Poème en prose / Armand Silvestre.
    • Il a été tiré de cet ouvrage : 75 exemplaires sur papier de luxe : japon et vergé, avec double suites de gravures.

dimanche 29 mars 2009

Le nouveau Décaméron - 4


  • Le Nouveau Décaméron. Quatrième journée : Comme il vous plaira.- Paris (Palais-Royal-15,17 & 19, galerie d'Orléans) : E. Dentu, 1885.- 186 p.-2 f. de pl. ; 20 cm.
    • Il a été tiré de cet ouvrage : 75 exemplaires sur papier de luxe : japon et vergé, avec double suites de gravures.

vendredi 27 mars 2009

Le nouveau Décaméron - 3


  • Le Nouveau Décaméron. Troisième journée : Amours mondaines.- Paris (Palais-Royal-15,17 & 19, galerie d'Orléans) : E. Dentu, 1885.- 156 p.-2 f. de pl. ; 20 cm.
    • Il a été tiré de cet ouvrage : 75 exemplaires sur papier de luxe : japon et vergé, avec double suites de gravures.

mercredi 25 mars 2009

Le nouveau Décaméron - 2


  • Le Nouveau Décaméron. Deuxième journée : Dans l'atelier.- Paris (Palais-Royal-15,17 & 19, galerie d'Orléans) : E. Dentu, 1884.- 194 p.-2 f. de pl. ; 20 cm.
    • La Bohème en famille / Alphonce Daudet ; Un Aqua-fortiste / Edmond de Goncourt ; Le Peintre de Sapeurs / Charles Monselet ; Les Anglais au Louvre / Ludovic Halévy ; Vyr le Porion / Léon Cladel ; Enfantillages / Théodore de Banville ; Le Modèle / Guy de Maupassant ; Le Cadeau de la petite Noël / Catulle Mendès ; Le Secret de l'Echafaud / Villiers de l'Isle-Adam ; Le Faux Pygmalion / Armand Sylvestre.
    • Il a été tiré de cet ouvrage : 75 exemplaires sur papier de luxe : japon et vergé, avec double suites de gravures.

lundi 23 mars 2009

François Ribes (1800-1864)

  • Discours sur l'éclectisme médical prononcé à l'ouverture du cours d'hygiène de la Faculté de Médecine de Montpellier / par F. Ribes, professeur de cette faculté.- A Paris (7 bis, rue de l'Ecole de Médecine) : Chez Baillière ; A Montpellier (Grand'rue) : Chez Sevalle, Avril 1829.- 53 p. ; 21,5 cm.

samedi 21 mars 2009

Paul Léautaud (1872-1956)


  • Mieux Vivre : revue mensuelle offerte par la Formule Jacquemaire n°60/ direction artistique de George Besson.- N°8 - Août 1937.- Villefranche (42, rue Bonthoux) : J. Bonthoux, pharmacien, [1937].- np. : ill., couv. ill. en coul. ; 18 cm.
    • Le chat par Paul Léautaud (4 p.) et 12 p. de pl. photographiques en noir et blanc et 4 photos in-texte d'Ylla, de De Poll, Jahan, F. Pekar, Perckhammer, V. Jiru.
    • Conservez Mieux Vivre comme vous collectionnez Ciels & sourires de France : "Mieux Vivre" rassemble chaque mois les plus jolis documents photographiques parus sur un sujet choisi parmi les plus heureux de notre existence. "Mieux Vivre" voudrait rendre la vie plus douce, plus aimable, plus souriante, plus lumineuse et plus apaisante... [3e de couv.]


LE CHAT
Par
PAUL LÉAUTAUD

Mon Dieu ! j'ai déjà pas mal écrit sur les chats. Je puis écrire encore. J'en ai eu tant autour de moi. A aujourd'hui, pas loin de trois cents, je crois bien. Chacun avec sa physionomie, ses manières, son caractère particuliers. Tout comme nous autres humains, je l'ai dit souvent.

Le mieux, c'est que je n'en ai choisi aucun, puisque tous me sont venus des hasards de la rue, malheureuses bêtes perdues ou abandonnées par des maîtres sans conscience, de ces gens qui prennent un jour un animal, chien ou chat, par fantaisie, et celle-ci passée, le mettent tranquillement à la rue, exposé à tous les risques comme à tous les besoins.

Les chats que j'ai recueillis et qui vivent avec moi n'ont pas ma préférence. Sans doute, je leur suis attaché de les connaître et de jouir de leurs gentillesses, Mais ceux que je ne puis prendre, la place et mes moyens ayant leurs limites, et que je nourris au dehors, je sais bien qu'ils ont les mêmes qualités de grâce, d'attachement et qu'ils seraient, tout comme ceux qui étaient comme eux abandonnés et que j'ai recueillis, des compagnons aussi charmants s'ils étaient chez moi.

J'envoie au diable Descartes qui a dit que les animaux ne sont que des machines - il en disait autant, je crois bien, des humains. Au diable aussi Buffon qui a dit que les chats sont traitres et hypocrites. Au diable encore l'opinion accréditée que le chat n'aime que sa maison et bien moins son maître. Moi qui écris ces lignes et qui, après tout, dut-on me trouver bien présomptueux, ne suis pas plus sot qu'eux, je sais mieux qu'eux à quoi m'en tenir. La raison - pour connaître et juger - n'est pas tout. Un petit peu de cœur ne fait pas mal non plus.

Je viens de dire que je nourris des chats abandonnés au dehors. C'est surtout au Luxembourg - qui est tout près du « Mercure » et d'où viennent, en grande partie, mes compagnons félins. Si j'ai eu bien des chagrins à chaque nouvel abandon que je constatais, quels plaisirs j'ai eus aussi à chaque sauvetage que j'ai fait. Mon cher Coco, par exemple. Quels cris il poussait, le jour que je l'ai pris, dans le panier dans lequel je l'emportais ! Dans le petit appartement de la rue Dauphine où je le fis vivre quelques semaines avant de le transférer chez moi, quelle peur il avait, caché obstinément sous un buffet sous lequel je lui glissais pâtée, lait et gâteries ! Si vous le voyiez aujourd'hui, couché avec moi, sur le côté comme une personne, son nez tout près du mien, une de ses pattes allongée sur mon cou. Dire que des gredins ont mis dehors un animal si charmant, un être si affectueux, dont tout n'est que gentillesse et douceur ! Tristes imbéciles, cruels et malfaisants.

Et ce que je viens de dire de Coco, je pourrais le dire tout aussi justement de Blanchou, de Félix, de Grison comme de Sophie ou de la Noirochon, celle-ci que, chaque matin, avant mon départ, il faut absolument que je prenne quelques minutes dans mes bras. De tous, enfin ! Quand je dis : de tous, je pense à ceux qui sont là, à ceux aussi qui y ont été et qui n'y sont plus, et qui m'ont payé au centuple, par leur compagnie délicieuse, le refuge que je leur ai donné.

Que dites-vous aussi de cette petite histoire, comme commentaire à la sotte opinion de Descartes ?

Dans mes chats du Luxembourg, un noir, Un soir, je le vois sortir du jardin, s'engager sous les galeries de l'Odéon. Je le suis. Je le vois entrer dans un bar de la place de l'Odéon.

J'entre à mon tour. Je demande : « C'est à vous ce chat ? » - «Oui », me répond-t-on. Et on me raconte ceci : « Il est entré un soir en faisant des grâces, donnant des coups de tête à tout le monde. (On sait que c'est la plus vive démonstration d'amitié des chats). On lui a donné à manger. Il est reparti. Deux jours après, il est revenu. Même manège. On lui a encore donné à manger. Il est reparti. Cette fois-ci, c'est le lendemain qu'il est revenu. On l'a encore accueilli de même. Maintenant, il est de la maison. Il va le soir faire un petit tour et revient aussitôt. » Et, en effet, vous pouvez voir maintenant ce petit bonhomme de chat, se prélassant au soleil sur une chaise à la devanture du bar. Il a trouvé une maison. Il est chez lui. Et ce n'est pas tout. Les patrons de ce bar, ont appris que ce chat, avant de se présenter chez eux, s'était présenté dans plusieurs maisons voisines, d'où on l'avait chassé, Que dites-vous de cet animal abandonné, à qui une maison, des maîtres, une société manquent et qui se présente ici et là, gracieux, faisant le gentil, prodiguant ses démonstrations, jusqu'à ce qu'il trouve bon accueil ? Une machine ? une machine ? Allons! mon pauvre Descartes, sans doute vous avez écrit le Discours de la Méthode, mais vous avez aussi dit une fameuse bêtise.

Quant aux chats qui n'aiment que leur maison ; quant aux chats qui s'éloignent et se cachent pour mourir, autant d'opinions sans consistance.

Un peu après la mobilisation de 1914, je suis parti avec quatre, de mes chiens et onze de mes chats pour un pays où j'allais pour la première fois, C'était encore à cette époque un endroit assez désert. Le soir, je partais faire une promenade dans la campagne, ou le long des côtes, au bord de la mer. Les onze chats suivaient avec les quatre chiens, et si je m'arrêtais, étendu un moment sur le sol, tout le monde s'arrêtait aussi, en rond autour de moi.

Quant à la mort, je n'ai jamais vu un de mes chats s'éloigner de moi pour mourir. Au contraire. L'un d'eux, malade gravement, ou à la fin de sa vie, vivant ses derniers jours, je ne l'ai jamais vu aussi près de moi, me témoigner plus d'affection, me marquer davantage le prix de ma présence. C'est même devenu pour moi une indication douloureuse. je sais en pareil cas que la fin du pauvre être n'est pas loin. Les dernières minutes venues, quelle façon, répondant à mes caresses, d'accrocher doucement de ses griffes, ma main pour me retenir. . . . Ah! dame, c'est que, moi, je ne suis pas, pour toutes ces bêtes, un « maître », mais un compagnon, comme chacune d'elles m'en est un. je ne me considère guère que comme un animal d'un autre genre que le leur, sans trop savoir lequel des deux vaut le mieux. A voir la bêtise, la grossièreté et la cruauté des hommes, on peut se le demander.

jeudi 19 mars 2009

Jules Laforgue (1860-1887)


  • Exil. Poësie. Spleen / Jules Laforgue ; avec un portrait par Skarbina, [présentation par René-Louis Doyon].- Paris (9, galerie de la Madeleine) : La connaissance, 1921.- 171 p.-1 f. de pl. en front. ; 19,5 cm.- (Les Textes ; 2).
    • Exil, Poësie, Spleen est le deuxième volume de la collection Les Textes et le troisième des inédits de jules Laforgue. Il a été édité par la maison d'édition La Connaissance, 9, Galerie de la Madeleine (Paris, VIIIe) et sous la devise : «On se lasse de tout, excepté de connaître ». Il a été imprimé par J. Dumoulin et tiré à : 10 exemplaires sur hollande van Gelder Zonen au filigrane de La Connaissance (hors commerce) ; 200 exemplaires sur vergé d'Arches à la forme ; 400 exemplaires sur vergé de pur fil Lafuma au filigrane La Connaissance. Exemplaire justifié : [n°] 227.

mardi 17 mars 2009

Prosper Mérimée (1803-1870)


  • H B par un des Quarante / Prosper Mérimée.- Paris (9, galerie de la Madeleine) : La Connaissance, 1920.- 36 p. ; 16 cm.
    • Cet Éloge de Stendhal a été écrit par Prosper Mérimée, en 1850, dans une édition discrète tirée à 25 exemplaires ; le texte en fut repris par Poulet-Malassis en 1857 et 1864 dans des éditions peu répandues. L'illustre écrivain développa plus tard les lignes substantielles de cet admirable portrait, dans une étude plus longue. Cette dernière leçon ne contient plus dans leurs raccourcis saisissants les traits si suggestifs et inégalés qui, les premiers, dessinèrent un Stendhal vivant, dépassant son époque et prenant déjà place dans sa gloire littéraire. Ces pages ont été colligées sur le texte original, publiées par la maison d'édition «La Connaissance » sise à Paris 9, Galerie de la Madeleine et imprimées, par O. Dousset, à la louange de Stendhal et en l'honneur de Prosper Mérimée. Cette plaquette in-18 couronne a été tirée à 13 chine (hors-commerce) et 635 exemplaires sur vergé d'Arches à la forme. Chaque exemplaire est justifié : [n°] 173.

dimanche 15 mars 2009

Félicité de Choiseul-Meuse


  • Julie ou j'ai sauvé ma rose / par Madame de C***, auteur de « Amélie de Saint-Far » ; [notice de P.L. Jacob, ill. de J. Chauvet (?)].- Se trouve : chez tous les libraires anglais [Bruxelles : Gay et Doucé ?], 1882.- 2 vol. XI-166-1 f. de pl. en front. + 183 p.-1 f. de pl. en front. ; 22 cm.
    • Les couvertures portent : « En vente chez tous les libraires français, 1886 ».

vendredi 13 mars 2009

Henri Monnier (1799-1877)


  • Les Bas-fonds de la société / par Henri Monnier.- Édition miniature sur l'imprimé de Paris chez J. Claye.- A Londres [Bruxelles : Kistemaeckers, 1880 ?].- 206 p. ; 14 cm.
    • Avis aux collectionneurs : Les Bas-fonds de la Société ont eu les honneurs de 4 éditions : L'édition originale de Paris, chez J. Claye, (100 exemp.). Une édition fort ordinaire et mal imprimée, à Amsterdam (Bruxelles). Une édition minuscule à 64 ex. (Bruxelles ?). Enfin la présente édition miniature à 100 ex.


AVERTISSEMENT

L'auteur de ce livre tient à expliquer sa pensée : il ne veut pas qu'on se méprenne sur son but. Ce livre n'est pas écrit pour tout le monde ; il est tiré à un infiniment petit nombre d'exemplaires (*) ; il s'adresse plus spécialement aux esprits hardis et robustes que n'effraye pas la vue de la vérité tout entière et qui, quelle qu'elle soit, sont de force et de courage à en tirer un remède.

Nous avons dramatisé parfois ce que PARENT-DUCHATELET a décrit. Notre livre est en quelque sorte un livre de médecine sociale : c'est le speculum du médecin. La plaie est hideuse : il faut qu'un regard ferme se décide à la sonder. Ce n'est pas sans tristesse que nous nous sommes décidé à faire de notre plume un scalpel, et qu'après avoir ri des petitesses de ce monde, nous avons osé descendre jusqu'à ces vices et regarder en face les lèpres secrètes qui le rongent.

Le philosophe nous approuvera, l'hypocrite nous lira en cachette, mais le vicieux, nous l'espérons, frémira en se regardant dans le miroir que nous lui offrons.

HENRY MONNIER.

(*) Peu de temps avant la publication de ce livre, on lisait dans la Revue anecdotique, à la date du 7 décembre 1858 : « Outre les Scènes populaires, que tout le monde connaît, Henry Monnier en avait un portefeuille d'autres dont les familiarités galantes n'avaient pas eu jusqu'ici les honneurs de la publicité. Il vient d'être autorisé à les faire tirer à cent exemplaires. Chaque exemplaire ne coûtera pas plus de cent francs. »

mercredi 11 mars 2009

Louis Perceau (1883-1942)


  • Vente du fonds Louis Perceau : importante bibliothèque d'ouvrages érotiques anciens et modernes : vente, Paris, Drouot Richelieu, salle 8, 26 juin 2007 / [notices par] Christophe d'Astier, Alain Nicolas, Hervé Valentin.- Paris : Deburaux : SCP MSA , [2007].- 96 p. : ill. en noir et en coul., couv. ill. ; 29 cm.
    • La couv. porte : Pas à l'Enfer-Bibliothèque Louis Perceau.

lundi 9 mars 2009

Remy de Gourmont (1858-1915)


  • Le Chemin de velours : nouvelles dissociations d'idées / Remy de Gourmont ; frontispice gravé sur bois par Paul de Pidoll.- Paris (21, rue Hautefeuille) : Georges Crès et Cie, MCMXXIII [1923].- 327 p.-1 f. de pl. en front. ; 19,5 cm. (Les Maîtres du Livres ; 95).
    • Ce livre, le quatre-vingt quinzième de la collection des Maîtres du Livres, a été établi par Ad. Van Bever. Tiré à mille neuf cent cinquante-cinq exemplaires ; soit : 50 exemplaires sur grand vergé de Rives (dont 7 hors commerce), numérotés de 1 à 43 et 44 à 50 ; 55 exemplaires sur vélin bleu (dont 5 hors commerce), numérotés de 51 à 100 et 101 à 105 ; et 1850 exemplaires sur papier des manufactures de Rives (dont 100 hors commerce), numérotés de 106 à 1855 et de 1856 à 1955, le présent ouvrage a été achevé d'imprimer en caractères néo-didot, par Arrault, à Tours, le 10 décembre MCMXXII, les ornements typographiques ont été dessinés et gravés sur bois par Paul Baudier, Maurice de Becque, Georges Daragnès, Pierre-Eugène Vibert, etc. Exemplaire sur vergé teinté de Rives n°1723.

samedi 7 mars 2009

Claude Farrère (1876-1957)


  • Thomas l'Agnelet : gentilhomme de fortune : roman /Claude Farrère.- Paris (50, Chaussée d'Antin) : Librairie Paul Ollendorff, 1913.- 462 p. - 3 f. de pl. ; 19 cm.
    • Il a été tiré de cet ouvrage : 550 exemplaires sur papier vélin numérotés de I à 550 (plus 100 exemplaires pour l'auteur) ; 200 exemplaires sur papier de Hollande, numérotés de I à 200 (plus 10 exemplaires nominatifs) ; 25 exemplaires sur papier de Chine, marqués de A à Z (plus 3 exemplaires nominatifs) ; 75 exemplaires sur papier du Japon, numérotés de I à LXXV (plus 3 exemplaires nominatifs). Exemplaire [sur vergé de Hollande] n°197 à grandes marges avec double portrait de l'auteur et 1 fac-sim dépl. de la première page du manuscrit.

jeudi 5 mars 2009

André Gill (1840-1885)


  • Le roman d’un caricaturiste : André Gill / par J[ean] Valmy-Baysse.- Paris (10, rue Tourlaque) : Marcel Seheur, 1927.- III-322 p.- [25] p. de pl.-4 f. de pl. en coul. : ill. ; 25,6 cm.- (L'Art et la vie ; 5).
    • Incomplet de la 1ere pl. en noir.


mardi 3 mars 2009

Claude Farrère (1876-1957)


  • La Vieille histoire : comédie en trois actes / Claude Farrère ; bois dessinés et gravés par Constant Le Breton.- Paris (31, rue Vivienne) : Édouard-Joseph, MCMXX [1920].- 112 p. : ill. ; 20 cm.
    • Le tirage de la comédie "La Vieille Histoire" a été limité à 1000 exemplaires sur Japon national, tous numérotés. [Exemplaire] n° [non numéroté].

dimanche 1 mars 2009

Gabriel Chevallier (1895-1969)


  • Ma petite amie Pomme / Gabriel Chevallier ; présentation typographique et illustrations de Victor Quienen.- Bruxelles : A l'enseigne du Chat qui pêche ; Paris : Presses universitaires de France, 1946.- 214 p. : ill. ; 22 cm.
    • Cet ouvrage a été édité en janvier 1946 par la maison d'édition L'Enseigne du Chat qui pêche. Bruxelles. La présente édition comprend 10 exemplaires sur papier des papeteries du Pont de Warche, numérotés de 1 à 10. 3000 exemplaires sur papier vergé de l'Union des papeteries. Il a été constitué en outre 10 exemplaires hors commerce marqués de A. à J. réservés aux collaborateurs et amis de l'éditeur.